les tendances durables dans le recrutement en 2022
Plusieurs articles importants sont parus les tendances recrutement 2022. L’année 2020 et 2021 sont marquées par le COVID-19. Baisse d’activité, chômage partiel. Le recrutement a été largement impacté.
Des tendances coté recruteurs : digitalisation des recrutements, introduction des entretiens en visio, intelligence artificielle, marque employeur, soft skill. Ces tendances restent actives en 2022.
Les grandes tendances l’année 2022.
Equilibre vie professionnelle/vie personnelle : une quête pour de nombreux candidats
Les candidats sont plus volatils qu’auparavant. La notion de travail change, la conduite des entreprises n’est pas nécessairement partagée, les générations X,Y,Z font une entrée remarquée sur le marché du travail avec des demandes très différentes de leurs prédécesseurs. L’équilibre de vie privée et vie professionnelle devient incontournable. Sans fausse illusion, le job de rêve reste souvent hors portée d’atteinte. Le contexte extrêmement mouvant, le télétravail, l’exigence accrue des candidats sont des facteurs qui s’ajoutent à la recherche de plus de qualité de vie. Le recrutement doit aussi investiguer les avantages recherchés, la qualité de vie au travail, les distinctions avec les entreprises concurrentes, pour présenter une entreprise attrayante.
Des salaires à la hausse et des avantages pour les candidats
Les secteurs importants comme l’hôtellerie, la restauration, le BTP ont été les premiers à connaître des pénuries de vocations qui pèsent dramatiquement sur leurs chiffres d’affaires. La fermeture temporaires ou définitives de 2020 et 2021 et la baisse d’activité prolongée de certaines entreprises ont permis le recul suffisant pour faire percevoir le déséquilibre entre rémunération et niveau de vie. Dans certains secteurs l’augmentation des salaires est devenue incontournable.
Certaines entreprises ont fait le choix de proposer des avantage en matière d’épargne salariale, de primes, de télétravail, d’aménagement d’horaires. Le sujet de la participation plus équitable est également posé pour 2022
La marque employeur : encore un incontournable pour 2022
La marque employeur est l’argument de visibilité marketing sur le marché de l’emploi qui est au centre des recrutements depuis maintenant quelques années. Est ce nécessaire, oui car les candidats sont plus exigeants, moins impliqués que leurs parents, plus mobiles. Construire une marque employeur est devenu un incontournable aujourd’hui. Mais attention, il faut que les fruits tiennent la promesse des fleurs, sinon l’entreprise se heurte à des déconvenues.
Des recrutements sur la personnalité
Le recrutement sur la personnalité est l’une des tendances constatée depuis plusieurs années. Le CV reste largement incontournable comme carte d’identité du candidat, mais insuffisant. .La prise en compte de la personnalité est nécessaire pour appréhender l’intégration dans le collectif, la diversité des profils, la capacité relationnelle notamment.
Par ailleurs, les entreprises se sont rendu compte de l’importance de recruter leurs futurs salariés avec des traits de personnalité permettant de faire face aux changements fréquents comme la capacité d’adaptation ou encore la capacité à être autonome.
L’automatisation des processus de recrutement : un besoin essentiel pour les entreprises
L’ensemble des processus de recrutement se sont digitalisés : candidatures, entretiens, tests, … Il reste des réservoirs de performances autour des tâches redondantes pour les recruteurs.
La compétence attendue du recruteur tient à sa capacité de réponse aux besoins et à la qualité des candidats recrutés. .
Changer pour faire face à la difficulté de recruter
La crise sanitaire, qui touche le monde entier depuis maintenant deux ans, impacte le quotidien de tous salariés et entreprises Mauvaise passe contextuelle par le covid ou malaise plus profond ? Les réactions aux bullshit job, aux difficultés du management dans les rapports, dans le sens, l’autonomie, le phénomène de la grande démission venue des états unis,
Ce sont les employés de la génération Z (moins de 25 ans) et dans une moindre mesure les générations X et Y diplômées qui aspirent le plus au changement (52%) , contre 35% de la génération X (nés entre 1965 et 1979) songent à quitter leur entreprise cette année.
Cette situation paradoxalement remet en avant la qualité des séniors plus stable, moins carriéristes, plus expérimentés sur le marché du travail,