Commercial dans l’industrie : « Je ne savais pas mettre une cheville dans un mur, aujourd’hui je forme les nouveaux collaborateurs ! »

Hello Work par Celia Riguidel • Publié le  • Sponsorisé par Berner France

Emilien vous dit tout de son parcours de reconversion.

Emilien Lefevre n’avait jamais entendu parler de Berner avant de se reconvertir. Il faut dire que la mode et l’industrie n’ont pas grand-chose en commun… « J’ai travaillé plusieurs années dans une enseigne de prêt-à-porter masculin. D’abord comme vendeur avant de passer adjoint puis co-responsable du plus gros magasin de la marque », retrace-t-il. Lorsqu’il a le sentiment d’avoir fait « le tour des missions », Emilien décide de prendre son envol. « J’avais envie de relever de nouveaux challenges. J’ai choisi de concentrer mes recherches sur les deux postes qui m’intéressaient le plus : conseiller bancaire et commercial. »

Emilien postule chez Berner sans idées préconçues. « Pour moi c’était une entreprise comme une autre, je ne connaissais pas du tout son activité. » Ce qui n’empêche pas l’entreprise de s’intéresser à son profil : « J’ai eu un bel échange avec le recruteur et la manager. Ils m’ont proposé de faire une journée découverte sur le terrain. C’est ce qui m’a décidé à me lancer dans l’aventure. » Une aventure qui, un an plus tard, n’en est encore qu’à ses débuts !

« Ce n’était pas du tout mon domaine »

Emilien a, comme tous les commerciaux du groupe, intégré la formation Berner avant sa prise de fonction effective. « C’est un cursus qui s’étale sur plusieurs mois, explique Morgane Langin, formatrice du campus Berner, situé au siège de Saint-Julien-du-Sault (près d’Auxerre). « La première semaine vise à présenter la marque et à transmettre les ficelles du métier. C’est un premier vernis théorique avant la mise en pratique. »

Mais le rôle des formateurs va bien au-delà : « On est là pour booster les nouveaux et éveiller leur curiosité. » Une qualité indispensable, surtout dans le cadre d’une reconversion. « Un commercial doit être organisé, déterminé mais surtout curieux. Si le collaborateur ne pose aucune question au démarrage, alors qu’il a tout à apprendre, c’est mauvais signe pour la suite. »

Des questions, Emilien en avait un certain nombre à ce stade : « J’avais une grosse inquiétude sur le côté technique car ce n’était pas du tout mon domaine. Je ne savais même pas mettre une cheville dans un mur ! » Le parcours de formation n’était heureusement pas terminé. « J’ai été pris en charge par ma manager la deuxième semaine. Elle a notamment repris les basiques avec moi, en développant un peu plus. » Avant de passer à la pratique la troisième semaine : « Une formatrice m’a accompagné sur le terrain pour me faire découvrir la réalité du métier. Elle m’a laissé de plus en plus la main en rendez-vous au fil de la semaine, et m’a beaucoup aidé à potasser la partie technique. »

 

Son implication a fait le reste. « Il faut de la volonté pour y arriver, ça ne tombe pas du ciel ! » Morgane confirme : « Notre catalogue produit compte plus de 25 000 références. Passée la période d’intégration, nos commerciaux doivent se former en autonomie via des e-learning. Ce qui requiert une certaine discipline de travail. » Un bon CV ne fait pas tout, loin de là ! « On accueille des profils variés en formation et tout le monde réussit, assure Morgane. Le plus important est d’être motivé, d’avoir envie de s’investir à fond. Car même s’il y a une équipe derrière, vous serez seul au quotidien sur votre secteur. »

« On s’organise comme on veut mais il faut se motiver soi-même »

Emilien n’a jamais eu de mal à se lever le matin. « J’ai toujours été persévérant quand je travaillais dans le prêt-à-porter. Même quand la fermeture du magasin approchait, je me disais toujours que la journée n’était pas terminée, qu’un client pouvait encore arriver. Chez Berner, on s’organise comme on veut mais il faut se motiver soi-même pour atteindre ses objectifsOn est son propre patron ! » La tâche est selon lui bien plus simple lorsqu’on s’adresse à des professionnels : « Le besoin en outillage ou en quincaillerie existe déjà, ça nous facilite le travail. Je trouve aussi les clients beaucoup plus respectueux. Le BtoC, c’est fini pour moi ! » décrète-t-il.

 

Emilien se projette à long terme chez Berner. « Il y a plein d’évolutions possibles dans différents domaines. Pas uniquement dans le commerce, on peut aussi bifurquer vers le pôle administratif ou formation par exemple. » Emilien parle en connaissance de cause : « J’ai endossé une double casquette de formateur terrain il y a deux mois. » Et il ne compte pas s’arrêter là ! L’ex-responsable de magasin se verrait bien devenir manager commercial junior. « Le management, je connais et j’aime ça. D’ailleurs je prends déjà le relais de ma manager sur certains sujets pour la soulager. » Emilien doit s’armer d’un peu de patience pour briguer cette promotion. « Je dois encore passer quelques échelons dans mon poste pour pouvoir suivre le cursus interne, qui dure de six mois à deux ans. »

 

Emilien relève un autre avantage (et non des moindres) à rejoindre Berner : la rémunération attractive. « Il ne faut pas s’arrêter au niveau de salaire affiché sur les offres d’emploi. L’entreprise a mis en place un système de paliers avec des primes plus qu’intéressantes. Il y a aussi des challenges d’équipe réguliers. Tout le monde s’entraide pour les réussir ! »